Arnaud Dumouch s'auto-proclame théologien !

Arnaud Dumouch serait-il un véritable théologien ? Raison nous guide pour signaler les « enseignements » qu’il professe comme étant autant d’inepties disséminées dans un fond de vérité. Le soit-disant savoir qu’exerce ce monsieur n’a aucune validité, déformant les bases du christianisme et trompant un certain nombre de gens !

Sur le web, la liberté d’expression donnée à chacun profite à tous, jusqu’à un certain point, mais il faut être modéré dans ses divulgations afin de ne pas chercher à influencer, ni à induire en erreur son prochain. Dans des domaines sensibles comme « la religion » ; faire partager ses idées est une chose, à condition de s’efforcer de ne rien chambouler. Un minimum de conscience est requis. Les connaissances actuelles découlent en partie des savoirs d’antan, et même si le monde progressivement est amené à changer, à s’orienter vers plus de futilités, à rechercher dans l’éparpillement une spiritualité, à refouler la peur de la mort dans la matérialité, quel héritage laisserons-nous aux générations présentes et futures si par cupidité et inconscience, nous contribuons à transformer ce qui demeure encore authentique, annihilant les vraies valeurs depuis un clavier d’ordinateur ? Chacun est responsable de sa participation. Que cette contribution se traduise par : des actes, des paroles, des pensées ou les trois combinés, ce ternaire a son influence dans la vie et dans celle d’autrui. De plus, de cette trilogie, rien ne se perd, mais perdure jusqu’à la fin des temps. - cette finalité n’a aucun rapport avec la fin du monde.  
 

Arnaud Dumouch se présente comme théologien ? 

Abusé plus sûrement, tendant à faire valoir ses vues erronées, Arnaud Dumouch n’hésite pas à prendre pour support la science actuelle et l’Eglise catholique pour faire corroborer ses idées. Le personnage prétend être diplômé et de ce fait, autorisé à enseigner. Or on s’aperçoit vite qu’il fait tourner en boucle le peu qu’il a appris par cœur, glané de-ci, de-là. 
 
Voici les principales sources où il puise « son inspiration ». Elles relèvent principalement du Dictionnaire de théologie, Volume 7, par Nicolas-Sylvestre Bergier, (consultable en ligne sur google-book), de Saint-Thomas d’Aquin, saint Grégoire de Nysse, et de Saint-Jean, reconnu du Christ pour sa clarté d’esprit. Cette qualité n’a guère rattrapé ni « touché » Arnaud Dumouch.
 
En enseignant, il risque plus d’obscurcir que d’éclairer et c’est regrettable pour ceux qui assimilent ses théories. Auto-proclamant avec peu de modestie un savoir tout personnel, il se veut d’expliquer par « a + b » le fonder de sa (syn) thèse avec pour point de mire : « la résurrection-charnelle ».
 
Or ses propos reposent plus particulièrement sur des extrapolations, du fait qu’il a l’art et la manière grossière de raccorder des faits entre eux, sans qu’il y ait vraiment de rapport ni de correspondance directe.
 
Par compassion, rapportons le moindre : « A la fin du monde lorsque Dieu nous rendra notre corps transfiguré avec des propriétés nouvelles d’obéissance à notre âme, nous pourrons de nouveau nous toucher. »
 
En visionnant ses nombreuses vidéos entrecoupées, on remarque que le désir de « toucher » semble avoir « assujetti monsieur Dumouch ». Mais si ce n’était que cela. Passons.